Y a t'il quelqu'un?

Recueil de textes


Nature_



Un endroit qui brillait, parsemée de fleurs, et le soleil reflétant dans un lac, des canards qui allait de long en large laissant derrière eux des petits ronds d'eau, un cygne qui allait et venait sur le bord du lac, une fleur en éclosion, des oiseaux volants par dessus les arbres, un oisillon réclamant son vers, et un chat sauvage qui essayait de le manger.. Et elle avançait, en regardant la nature qui s'animait autour d'elle. Le soleil brillait encore, mais les grottes était sombres.. Elle s'avança dans l'une d'elle et s'y assis. Le chat réussi à attraper l'oisillon, mais celui-ci se fit sauver par sa mère. Le chat, déçu, s'en alla pour jouer avec les canards qui se secouait en sortant de l'eau. Le cygne rentra dans l'eau et appela ses cygnons, qui montèrent sur son dos. Un papillon se posa sur la fleu qui avait fini de se develloper et qui montrait ses pétals au grand air. Elle, elle était assise dans la grotte, pendant que les animaux se mettait en action. Un corbeau se posa sur une branche d'un des arbres, et à un moment, un nuage passa. D'autre arrivèrent, et il plut. Tout les animaux se réfugièrent sous l'arbre, et un écureuil en profita pour piquer des noisettes par-ci par la. Un lapin qui sortit de la grotte se sauva en courant dans son terrier. Il y eut un orage. Une nuée de corbeau s'envolèrent, et, elle, elle fermait les yeux. Un rayon de soleil creusa les nuages, et un arc-en-ciel de milles couleurs parsema toute la prairie. Ses couleurs répandait le bonheur, et les animaux se mirent tous devant pour le regarder. Ses couleurs refletaient dans le lac, où une truite sauta hors de l'eau et épata tout les animaux de la prairie. Le soleil remontra son nez, et les animaux se remirent en action. Le soleil se couchait, et des chauves souris se montrèrent par le bout du museau. Elle volait par ci, par là. Les canards rentrèrent à leurs nids et les cygnes aussi. Il faisait nuits. Une chouette éleva son grand cri dans le ciel qui se déchira, puis un grand silence survint. On entendait plus aucun bruit. Les hiboux se montrèrent en groupe, et parcoururent la vallée, noir comme le ciel. Aux premieres lueures du matin, ce petit monde rentra dans son terrier, et laissèrent place aux animaux du jour. Le cygne sortit des roseaux, l'écureil de son trou, le lapin de son terrier, et la truite de son trou de sable. Tout le monde se remit en marche. Elle, elle se leva, contemplant le monde, et se disant que c'était la meilleure chose à arriver. Une biche sortit d'un buisson et la surprit. Elle, elle devait rentrer en ville. Revoir les gazs d'échappements.. Mais elle reviendrait souvent ici pour contempler ce qui se passat autour d'elle, avec les animaux, le monde, la vie, tout simplement.







La rose

Si un jour, une rose tombait dans un ruisseau, elle serait portée au loin. Moi, celle que j'ai vu, elle flottait, accroché à une branche d'arbre. Je descendis l'attraper, mais on ne souhaitais pas me la laisser.
- Ne touche pas à cette rose, criait une voix incertaine.
- J'en ai le droit, elle ne vous appartient pas.
- Si tu te pique à ses épines, tu tuera tout tes proches, me prévint elle.
Moi, je n'avais pas peur, et je croyais que c'était des bétises. Je pris la rose et la mit dans mon panier. Je rentra chez moi, et la posa sous un globe.
- Jamais je ne toucherai à tes épines, murmurais-je.
Mais seulement, cette rose, elle ne m'a jamais revue. Je suis partie peu de temps après dans une nouvelle maison. Je l'avais laissée dans le grenier. Un soir, je rentendis cette voix.
- Tu as oublie cette rose. Quiquonque en touchera ses épines n'aura que la pensée de te tuée, m'expliquait elle.
- Ne vous inquietez pas, c'est impossible, ricanais-je.
- C'est ce que tu crois...
J'aurais du l'écouter. Un jour, quelqu'un emmenagea dans notre maison, et leur adolescent voulu aller dans le grenier. Il prit la rose, et se piqua. Il devint bizarre, et, un soir, je le vu à la fenêtre.
- Descend immédiatement, tu as été choisie pour être sacrifiée au nom de la rose.
Seulement, je ne voulais pas mourir. Sachant que j'avais des tas de roses à la maison, je prit un panier qui en contenait et le lança sur le jeune homme, les orties lui piquant la gorge.
- Sais tu au moins qui tu as tué ? demandait la voix.
- Quelqu'un qui s'est piqué.
- Tué n'était pas la bonne solution, tu devais offrir une rose noire. Tu dois mourir, disait cette voix dans un souffle de vent.
Tout les paniers d'osier garnis de roses s'élançerent sur moi, et je vis que, cette rose, je n'aurait jamais du la toucher















Love`


Elle marchait sur la plage, cheveux au vent, tenant dans sa main un bracelet d'amethystes. Je la regardait, du haut d'un rocher, n'étant l'aigle qu'elle aurait voulu voir voler au dessus des vagues. Elle se tournait souvent, ne m'apercevant pas, notre rendez-vous était à l'eau. Elle m'appela, me rappela, je ne décrochais pas, je laissais sonner. Mais, si elle levait la tête en se tournant, mon visage s'illuminerai et elle sourirait à rompre la brise. Les vagues lui mouillait les pieds, je l'entendais sanglotter. Moi qui sortait avec cette pure jeune fille, pourquoi n'allais-je donc pas la chercher ? Car elle m'avait dit qu'a chaque rendez-vous, si je n'était pas là, elle m'attendrais et me chercherai. Ses sanglots la firent suffoquer, j'entendais le son mélodieux de sa voix m'appeler, je ne bougeais pas. J'étais en train de jouer avec de petits caillou, assis sur un rocher haut-perché. Elle se mit à genoux, l'eau recouvrant ses jambes, elle pleurait, et j'éprouvais une mauvaise sensation. Elle avait peur, peur qu'il m'arrive quelque chose, peur que je l'ai laissée tomber. Jamais je ne lui ferait sa. Elle doit me trouver. Elle se retourna, regardant le soleil se coucher. Elle ramassa ses affaires, et alla s'installer plus haut, car la marée montait, et elle allait finir trempée. Elle commença à torturer son portable, appelant, laissant des messages, envoyant des SMS. Je ne pouvais rien faire. Cette promesse que je lui es tenue, n'arrive t'elle donc pas à la soutenir ? M'aime t'elle tant à s'en suicider ? Elle marchait de long en large, laissant les rochers abruti de son spectacle, et moi, completement abassourdi. Si elle ne me trouvait pas avant la prochaine heure, je devris aller à sa rencontre, car sinon je ne pourrais rentrer, l'eau devenu trop haute et m'empecherai de passer. Elle hurlait mon nom, faisant fuir les mouettes, j'étais impassible, laissant mon regard sur elle. Elle se couha dans le sable, brisa un bout de bois. Elle avait la tristesse dans ses yeux. Mais elle ne m'a pas perdue. Elle me recherche encore. On voyait déjà les premières étoiles, et là, elle se dit qu'elle devait partir. Mais partir, ce serait une trahison à mon égard. Elle resta sur une algue, la tête entre les genoux. L'eau montait trop et je fus contraint de descendre. M'aperçevant, elle se jeta dans mes bras, suffoquant, sanglottant de joie. Elle me raconta tout, je lui expliquait que je l'observait. Elle m'embrassa et resta dans mes bras, sous le clair de lune.

















Luna`


Elle était agitée, bougeant, sautant dans tout les sens. En elle, elle était calme, pure. Sa vie se résumait à des presques-meurtres, des harcèlement, des blessures, et des hopitaux. Mais, sa pureté ne changera jamais. Ce jour, où je l'ai trouver à côté du ruisseau à pleurer, ma dure et tyrannique soeur, j'avais peur qu'il lui arrive quelque chose. je la rejoins, mais, elle s'enfuit. Son amour ne se partage pas, ses rêves ne se réalisent pas. Elle vit son cauchemar taille réelle, et elle ne le supporte pas. Elle revient chaque soir couverte de sang, que ce soit des blessures au couteaux ou la témoin d'une meurtre. Elle n'a jamais voulu se suicider, elle pense que chaque jour sa vie sera meilleure. Mais, lorsqu'elle est rentrée, cheville tordue, bras sanglant et visage noir de poussière, e savais que les gens la prenait pour une fille sensible. Elle ne se défend pas. Elle laisse faire. Elle supporte, elle endure. Rien ne lui fait de mal. Elle peut tout supporter. Elle peut tuer. Elle en serait capable. Mais elle est trop volontaire pour sa. Son amour est singulier, elle n'a jamais personne qui oserait l'aider, ou;, du moins, la toucher. Elle se lamente, elle se plaint, mais jamais elle n'assume, jamis elle n'approuve. Elle a de la fierté, elle est belle. Sa beauté est naturelle. Mais on l'utilise. Mannequin de deux entreprises, elle était utilisée. C'est un panneau publicitaire. On ne la reconnait pas pour sa personnalité. Un policier jamais n'oserai la mettre en prison. Ils auraient trop peur de sa colère. Elle peut être vraiment trèès baguarreuse. Cette fille si pure jusqu`à 12 ans. Elle changent, elle est en crise. Je la soutiendrais toujours, quelle soit tendre ou..dure.











TEXTE 1 :

Chaque soir, c'est la même chose. On reste là, assis, sans un mot, comme punie de la vie. On ne sait plus on l'on est, on est comme perdu.. si le soleil pouvais traverser cette fenêtre.. La pénombre serait réduite à une lumière fascinante.. Mais, rien, ne peux se passer, et sa ne change pas. Cela fait trois jour, et je n'ai toujours pas bouger. Ma mère me donne un verre d'eau, et une cuisse de poulet par jour. Et, une fois tout les deux mois, un hamburger.. Le sang qui coule de cette plaie, m'affaibli de jour en jour.. Je me rapelle que mon portable sonne depuis hier... J'essai de bouger, sa me fait mal. Pourrais-je parler ? Et déjà, pourrais-je l'attraper ? Je tends le bras, me retenant d'hurler pour que l'on me sorte de là. Si je sors un jour, je ne suis pas sure de m'habituer à la lumière. En plus, j'ai besoin d'un hopital.. Je suis jeune, je ne veux pas mourir. Du sang coule encore de ma jambe. Je ne peux pas marcher. Je saisis d'un coup sec le portable, j'allume, et j'écoute... << Allo... C'est Amelie. on te cherche, ou est tu, voyons ? Sa fais si longtemps qu'on ne c'est pas vu ! >> ... J'écoute son discours, sur quoi elle mourait d'inquiétude.. Ma voix se met en action, je peux le faire ... Amélie... Amélie, j'ai besoin de toi.. je suis coincée dans le cagibi.. Plus de lumière.. Je saigne... Je souffre..Je veux sortir ! Viens me sortir de là, s'il te plait .... Elle ne réagit pas. Je m'en doutait.. Je ne pensais pas qu'elle viendrait... Le lendemain, j'entends un crissement de pleus. Vu que ma fenêtre est ouverte, j'entends tout. Mais, le rideau s'ouvre rapidement, et j'aperçois Amelie. elle est venue m'aider. Elle me sort, et sa mère me conduisit à l'hopital. Je me fit soigner, et je dus y rester une semaine. Ma jambe avait une infection. Et les médecins, me réhabituèrent à la lumière. Il parait que ma mère ne me trouve plus dans le cagibi. Grace a mon portable, j'appela la police pour la faire arreter.. Je n'étais pas triste, car je me fis héberger par Amélie. et j'avais, de plus, retrouvé mes amis, mais aussi, le gout à la vie !






















TEXTE 2

C'était une star dans son collège. Chaque jours, le temps changeait. et elle, au milieu de la foule, elle signait des autographes... Comment faire sa vie lorsquon est chanteuse ? Notre rêve change t'il en grandissant ? Elle ne comprenait plus ce qui ce passait autour d'elle. Et chaque moment de la journée devenait plus dur. Etude.. Autographe.. Etude.. Mais pourtant, elle savait que les autres faisait sa pour sa célébrité. Pas pour sa personnalité. Alors, elle commenca a tout refuser. Elle devint une jeune fille pressée pour ses cours de danse et de chant, et rien ne lui faisait peur. Elle était insolente, arrogante, dangeureuse. Et un jour, un garçon voulu lui demander, pourquoi elle avait changer de personnalité. Chihiro [car c'était le nom de la fille], ne l'écoutait pas et s'en allait. D'autre jour, il lui demanda de l'aider pour son devoir, de redevenir plus douce, et même un jour de sortir avec elle. Au mot - Tu veux sortir avec moi -, elle se retourna. Elle baissa les yeux, et le dévisagea. La solitude qui l'entourait changeait. Tout le monde avait peur d'elle. Elle se jeta dans les bras du garçon en pleurant, en marmonnant qu'elle ne voulait plus qu'on lui demande d'autographe, qu'on l'aime pour ce qu'elle est, et pas pour la people adolescente qu'elle n'ai pas. Il la rassura qu'il l'aiderai, et le lendemain, elle redevint une douce jeune fille, qui chantait du pop comme du R'N'B, on lui demandait encore des autographes, mais aussi de devenir son amie, et elle comprit enfin, que ce garçon, était sincère. Elle le revu un jour, lorsqu'elle sortait du lycée. Elle se jeta dans ses bras, en lui disant merci, et en chuchotant : Tu te rappelle, tu m'avais demandé de sortir avec toi. Et c'est oui. Pas que pour ce que tu as fait. Car tu as su respecter qui je suis, et je sais qu'en moi, tu ne voyais qu'une fille normale.. Et, je t'aime beaucoup, tu m'a donner de l'amitié, je peux te dire que tu es mon premier ami. Depuis ce jour, ils étudièrent ensemble, et ils vécurent heureux d'après la meilleure amie de Chihiro. Et cette star de solo.. Voulu faire un duo. Et c'est ce qu'ils firent. Et chaque jour, elle embellissait de bonheur et de beauté. Puis, à 20 ans, elle se maria, et eu un garçon qui devint chanteur de rap. Elle devint vielle, et elle se dit que, sa vie n'aurait pu être plus belle.

TEXTE 3


Depuis sa fenêtre, on voyait tout. Que ce soit le soleil, les nuages, et même la neige.. C'était un paysage romantique au coucher de soleil.. C'était là qu'elle avait trouver l'amour.. Elle avait posé sa tête sur son épaule, il avait rougi. C'était un amour, coup de foudre éléctrique.. Si le Je t'aime qu'il avait dit était pour une autre, elle ne serait pas là. Assise sur le rebord de sa fenêtre, à observer le coucher de soleil, sans rien faire ni rien penser. Elle avançait dans la vie. Un jour, son amour voulu vint, et ce fut un drame qui ne prit fin... Il voulait rompre pour une autre. Et tout ces Je t'aime associer n'était pas pour elle. Plus de caresses, plus d'amour, et plus d'affection. Elle avait perdu son ami en même temps. La petite copine de son ex était une fille adorable et pleine de bon sens. Elle ne voulait pas qu'il romps avec son ancienne... Il l'avait fait quand même. L'amour est une trahison sans fin, et le cours de la vie doit en posseder. Ou serait le sens de la question, si la jalousie et la vengeance n'existait pas ? Pas de vengeance meurtriere, car sa femme actuelle ne le voulait pas, qu'il quitte son ex. Et elle, devant sa fenêtre, elle ne voyait rien... Tout devenait flou.. Pour s'endormir dans l'éternité..
Amour

L’amour n’est pas un jeu où l’on prend un contrôle, l’amour, c’est toute une vie, une éternité, c’est gravé dans nos cœurs comme une promesse dans l’éternelle… L’amour, des gens l’y prennent bien, d’autre l’y prennent mal, certains n’y comprennent rien et se laisse enrober par la chaleur tendre d’une étreinte… Et voilà que la fin d’un moment merveilleux arrive, le brisement d’un cœur sous les pleurs, les sanglots qui l’y relie, la violence et les mots tout aussi horrible, tout sa parcequ’il est parti… Les hommes n’ont pas le même sens du mot amour, pour eux, ce n’est qu’un jeu, une façon de montrer leur naïveté aux filles, de leur laisser se découvrir, de se dépourvoir de défaut.. Pour les femmes, l’amour est une philosophie, une pincée de cumin dans la soupe de la vie, le philtre du bonheur, un tralala parfaitement féminin.. Lorsque l’innatendu se produit, certains pleurent, tombent en sanglots, se suicide, d’autres se vengent, pour faire gouter sa haine à celui qu’il pensait avoir aimer.. D’autre n’y font rien, il laisse la vie aller, venir, sans plus y penser que tout autre personne. On dit le collège, on dit le lycée, puis la Fac, l’adolescence a ses propres morceaux d’amour, plus on est jeune, mois on comprend, plus cela prend du temps de s’y mettre vraiment.. La pré-adolescence est une horrible période, les filles se croient dans un rêve, mettent les garçons à leur pieds, iraient jusqu’à tuer pour leur plaire, puis repartent en sanglots après avoir mener une dure bataille.. Arrive la majorité, où l’on goûte à d’autres saveurs, celles de draguer pour un petit verre au bar, puis y mener dure bataille pour aller jusqu’au mariage.. Avant, c’était les garçons qui partaient, maintenant, les femmes, dès le premier mauvais pas, elles se carapatent en douce pour filer dans la rue, recommencer leur train-train quotidien, essayer de tout pour trouver le mieu, jusqu’à se mettrent à leur pieds pour enfin être mariés.. Les hommes accostent, par pure curiosité, une jeune femme dont le corps lui plait, aucun point commun, lui il s’en fiche, il l’aime pour sa simple beauté. Et après, ils se demandent, lorsqu’ils sont amoureux, comment ils ont pu être aussi bêtes.. Les femmes font apprendre aux hommes ce qu’ils ne savent pas, et pourtant on dit souvent que les hommes n’apprennent rien car ils n’ont pas de volonté. Des gens disent aussi que l’amour, c’est une pure bêtise de quelque chose qui va, qui vient, qui repart sans qu ’on sans soi aperçu. On dit bravo aux gens qui, après des soixantaines d’années de mariage, n’ont éprouvé nulle fois de vouloir se séparer, et d’autre, après tout juste une année, qui en sont déjà au point morts pour tout aussi bien dire.. La vieillesse apporte sagesse, on comprend mieux les choses après des ans de jeunesse où l’on a jouée à la hors-la-loi pour gagner le cœur d’un homme. L’amour, sa veut aussi dire.. Racoeur, vengeance, pleurs, joie, bonheur.. Mais avant tout, Amour veut dire : Tendresse.